Lorsque j'avais 16 ans, j'ai passé mes vacances scolaires chez un copain dont les parents tenaient un ferme
d'environ 25 hectares.
J'ai donc passé tout un été chez eux. Mon copain l'ainé des enfants était plus vieux que moi de 2 ans et avait deux
sœurs, Anais et Gwenn.
J'avais un faible pour sa sœur Gwenaelle dont j'avais déjà aperçu une fois sa culotte qui lui rentrait dans la
moule.
Elle était de mon âge, sa petite culotte et elle m'excitaient grave.
Je travaillais dur avec mon pote la journée pour les aider aux différentes taches quotidiennes de la ferme avec une seule idée
en tête: Mettre la main sur les culottes de
ses soeurs sans qu'elles s'en aperçoivent. Eh oui! j'aimais déjà à cette époque les dessous salles des filles et je les aime encore
plus aujourd'hui.
Après un premier repérage, c'était facile de les obtenir.
Les culottes traînaient dans leurs chambres, sur ou dessous leurs lits, sur une chaise ou se retrouvaient, tout simplement, dans la
panière à linge sale.
Ce dernier ce trouvait dans la salle de bain, à l'étage ou était également les chambres.
Les culottes étaient souvent très sales et l'odeur qui s'en dégageait très forte, elles n'en changeaient que tous les
3 jours environ et elles étaient un peu négligées je pense.
Deux cochonnes qui salissaient leurs culottes, sans le savoir, pour mon plus grand plaisir.
Je pouvais m'enfermer dans la salle de bain, laisser l'eau de la douche couler et fouiller dans la panière à linge pour dénicher
ces petites merveilles.
J'aurai voulu les renifler puis les lécher toute mais je ne pouvais pas monopoliser indéfiniment la salle de
bain.
Je commençai à connaître les habitudes de la maison et le jour de la lessive.
Je conservais avant ce jour là, quelques culottes dans l'endroit ou je dormais pour me branler avec la nuit.
Je retournais une première petite culotte et coiffait la tête du traversin avec pour la renifler tout en me frottant le sexe sur
le traversin.
Je ne voyais pas grand chose et faisais tout le repérage à l'odeur pour poser ma bouche et ma langue au bon endroit, sur le
gousset de la culotte.
Je suçais ces fonds bien sales et une crème épaisse et gluante me collait à la langue avec une odeur à faire bander un mort.
Ma langue était engluée de ce jus que j'aspirais, savourais et avalais sans problème.
C'était super bon, bandant et très excitant. Il ne restait parfois plus grand-chose dedans tellement j'y avais mis du coeur
à la sucer jusqu'à en tacher la taie du traversin.
Oui le jus avait traversé la culotte, taché le drap du traversin et l'odeur s'était imprégnée sur ce dernier.
Une fois la culotte complètement nettoyée, je la remplaçais par une autre puis rebelote, tout en me masturbant, en frottant
ma queue sur le traversin et finir par jouir intensément.
Je suçais et léchais celle d'Anais à présent, elle n'avait pas le même goût et était encore plus sale, bourrée de glaires,
de pertes et très pâteuse.
Une fois ramollie par ma salive et mes lèchouilles, la crème ainsi obtenue était très goûteuse sous la langue, acre et sucré, la
culotte me collait littéralement à la bouche.
Quel délice !
et quelle jouissance, 2 à 3 par nuit et une autre le matin parfois.
Le lendemain matin je remettais discrètement mes trophées encore toute humides et pas toujours complètement nettoyées à leur
places.
Je recommençais pratiquement chaque nuit, une chance elles n'étaient pas indisposée en même temps. Toujours une à me mettre sous la
langue.
Juste avant leurs règles, les dépôts étaient plus abondant, l'odeur était forte et pas très agréable, mais l'excitation faisait que
je ne rechignais pas un instant,
Je bouffais tout goulûment avec frénésie et entrain.
Un dépôt épais avec des croutes jaunes, mélange de pipi, de mouille et de sécrétions vaginales encore toutes fraîches de la
veille tapissaient le fond.
Parfois des filets transparents, filants et gluants, comme du blanc d'œuf, collaient au tissu.
Un vrai régal et quel pieds!
Quelles cochonnes ces deux là ! Ne pas changer leurs petites culottes chaque jour. Finalement c'était inespéré pour
moi qui aime les dessous bien garnis.
Voilà c'est la première année que j'aie passé en vacances où je n'ai pas arrêté de me masturber en me régalant avec toute
ces culottes bien sales.
J'avais hâte de revenir l'année suivante pour savourer encore leurs culottes avec sûrement plus de mouille et peut-être finir
par bouffer la chatte à la Gwenn dont j'avais le béguin.
Bisous coquins sur ta p'tite minette luisante de mouille et sur tes fesses à croquer.
Dis-moi si cela t'as plu et j'espère que tu es toute humide! Ma langue aimerait bien aller vérifier !!!
PS: Pardonnez-moi pour les fautes d'orthographe
Love Pussy
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