Partager l'article ! "Ma voisine Céline" 1ère Partie.: Lorsque j'étais encore étudiant, il m'arrivait de faire des dépannages, des t ...
PLEIN-MA-LANGUE.Erog
Le Blog de Love Pussy
Lorsque j'étais encore étudiant, il m'arrivait de faire des dépannages, des travaux pour me faire un peu d'argent de poche chez les gens du voisinage ou de mon entourage et
notamment chez les voisins de mes parents, lorsqu'ils habitaient encore en région parisienne et que je n'étais pas encore autonome. C'était des gens charmants qui avaient une fille unique et quasi de mon âge 21 ans qui se prénommait Céline.
Pour la décrire elle était et l'est toujours je pense, petite, mimi, brune, cheveux mi long, les yeux
noisette avec un grand nez qu'elle trouvait pas très joli, mais dotée d'un cul de folie
et d''une belle poitrine généreuse.
Une fille pulpeuse et craquante !
Aïe aïe aïe !!!
Elle mettait apparemment que chez elle des pantalons très moulants qui laissaient voir la raie de
ses fesses et séparaient nettement les deux parties charnues de sa vulve. Quel régal pour les yeux. La vue de sa moule joliment dessinée à travers son truc blanc
moulant m'émoustillait grave. Elle portait un string que je pouvais voir
au travers et lorsqu'elle se penchait ou se baissait. Je me demande si elle ne le faisait pas exprès...pour voir ma réaction, pour m'aguicher et m'exciter...c'est sûr!
Des copines canons venaient souvent chez elles pour étudier ou réviser, elles étaient toute en 1ère année de
fac de droit. Oui des filles intelligentes et belles et pas farouches du tout. Je ne savais plus où me mettre, j'étais encore trop timide et réservé pour les aborder plus directement et
pour proposer à l'une d'elles de sortir avec moi. Je pense que Céline n'aurait pas apprécié que je drague une de ses copines. Elle m'aimait
bien je pense et ses parents aussi.
Ces parents justement m'avaient demandé, pendant la période des vacances scolaires, si
je pouvais leur refaire toute l'électricité dans les combles et leur installer des luminaires dans d'autres pièces moyennant finance bien sûr. Bref, plein de petits travaux à ma
portée. Pas de problème ! Si cela me permettait de l'observer et d'apprécier de plus près ses jolies courbes, quel bonheur de la voir bouger et de sentir son parfum. Voir ses seins
balloter et ses jolies fesses onduler lorsqu'elle marchait ou montait l'escalier allant à sa chambre. C'était un vrai plaisir pour mes yeux qui la dévoraient déjà du regard
!
J'imaginais, dans ma petite tête, son string qui devait lui rentrer dans la chatte et devait être tout humide, gorgé de ses
sécrétions à force de frotter entre ses lèvres bien charnues et luisantes de mouille. Où allait-il finir? Toute la question était là ! Comment faire pour l'avoir sur le nez et la langue
?
Dès le premier jour chez elle pour faire les travaux demandés, il fallait que je trouve la panière à linge
sale, surement dans la salle de bain, oui mais la quelle ? La maison était grande, celle à l'étage ou l'autre en bas. Sa chambre était à l'étage et sûr, ses culottes sales aussi.
Devant travailler dans les combles, ça se présentait bien mon affaire, j'allais pouvoir aller fouiller dans sa salle de bain et peut-être dans sa chambre pour voir si elle n'en
laissait pas trainer un ou deux.
Etant seul à l'étage un moment, j'en ai profité pour fouiner...je sais c'est pas bien !!! Mais c'était plus fort que moi, il fallait
que je sente sa chatte à tout prix.
Bingo ! Tout son linge "sale" était là, dans le panier à linges de sa salle de bain, ses soutifs, ses
petites culottes, ses strings et autres dessous bien sûr, tout ceux de la semaine et celui de la veille en premier, chargé de mouille et de pertes toute humides comme
j'aime.
Impossible de résister, la tentation était trop forte...il me les fallait à tout prix, tous sans exception. Je bandais déjà fort
et mon cœur battait la chamade, j'avais peur d'être surpris et il fallait que je me soulage au plus vite. J'en pris un tout au fond de la panière, pour pas que ça se remarque avec cette
envie folle de le sentir en cachette et de le mettre ensuite dans ma poche pour le déguster plus tard, ce soir, cette nuit. J'avais très envie de gouter celui de la veille
mais là c'était trop risqué ! je le pris qu'en même, il fallait que je profite de sa fraicheur et le mis également dans mon autre poche.
Ils m'ont invité à rester manger le midi, pas de pot ! Moi qui comptai me branler en les léchant
tranquillement chez moi. Tant pis ! Ca sera pour ce soir mais c'était sympa à eux de m'inviter à leur table mais avec la gaule pas facile
! Avec elle en plus qui
n'arrêtait pas de m'exciter grave. J'aurai aimé pouvoir en lécher un tout de suite et en reprendre encore un autre pour la nuit. Chose que j'ai fait en allant, un peu plus tard, au
toilette avec son string bien crémeux et glaireux, encore très humide de la veille. Son string sentait bon la chatte et la mouille, des croutes jaunes épaisses tapissaient le fond et se
ramollissaient par ma salive et mes léchouilles frénétiques, un dépôt crémeux très bon me collait sur les lèvres et la langue, je n'ai pas tardé à envoyer une, deux puis trois
giclées de foutre tout chaud sur la cuvette des toilettes.
Quel pieds ! J'en voulais d'autres, je les voulais toute ses culottes à la Céline. J'ai léché et sucé tout ce que
j'aie pu sur celui là dans les toilettes, mais il fallait que je retourne travailler, nettoyer mes giclées et traces de sperme, remettre la culotte toute trempée par mes
léchouilles dans le panier et en reprendre au moins deux autres bien humide encore. Avec celle déjà en poche et ces deux là, je me suis vite dépêcher
de les mettre dans mon sac et dans un petit sachet hermétique. Oui...j'avais tout prévu pour garder au mieux les odeurs au cas où je réussissais à m'en procurer. Je n'avais pas vraiment
la tête au travail et j'étais super excité à l'idée de ce que j'allais en faire cette nuit. Mais je me suis remis au travail, il fallait quand même que j'avance le chantier.
J'avais des pensées très hot pour elle, la culbuter là, sur la table de la cuisine, lui baisser son petit
moulant et lui bouffer la chatte à pleine langue puis la prendre ensuite en levrette, sauvagement en lui pelotant ses jolis roberts pour finir par éjaculer sur ses jolies
fesses.
Putain ! J'aurai dû lui dire que j'en pinçais pour elle mais j'étais trop timide et pas bien sûr de moi. Quelle connerie cette
timidité alors !!! Il fallait que j'arrive à la vaincre et faire le premier pas...bon sang !!! "Je vais rater une bonne occasion...quel con ! ".me
disais-je.
Le chantier dura plusieurs jours, et à chaque fois je prenais d'autres de ses dessous sales, le dernier
string porté généralement et remettais ceux ou celles que je venais de déguster toute une partie de la nuit dans mon lit en me masturbant comme un fou et en éjaculant abondamment.
Quel pieds !!! C'était super bon ! J'aimai la chatte de cette fille rien quand reniflant, léchant et suçant ses culottes et des strings.
Sa mouille était succulente et les traces laissées bien épaisses, une fois sèches il suffisait de les humidifier un peu par
de la salive pour retrouver une crème blanche gluante sur la langue et très bonne au gout, l'odeur incroyable de sa chatte me filait une trique d'enfer à chaque
fois.
J'ai fouiné également dans la salle de bain du bas, dans la buanderie où était leur machine à laver et le
sèche linge.
Un panier à linge était là aussi et dedans, les culottes de sa mère beaucoup moins sexy mais toute aussi bandante et pas
souillées de la même façon. L'odeur était beaucoup plus forte et elles sentaient plus l'urine et l'anus. Des pertes étaient présentes très odorantes et des glaires épaisses se détachaient du
tissu pour se coller sur mon doigt quand je voulais voir si elles étaient encore humide. Et Oups ! Dans ma poche pour cette nuit.
Quelques culottes de sa fille étaient là aussi, je pouvais les reconnaîtrefacilement, elles
étaient de taille plus petite, elle devait en mettre à l'approche de ses règles. Je suis tombé sur une qui était vraiment crade, de grosses glaires épaisses mélangées à sa liqueur avec des filets
translucides gluants et cette odeur forte qui s'en dégageait m'excitait encore plus.
J'ai pris discrètement les deux culottes et les ai bien dégustées, entièrement nettoyées, en essayant de comparer la mère et la
fille. La culotte de la mère était bonne mais celle de sa fille bien meilleure. Je ne sais pas si elles se sont aperçues de quelque chose car leurs culottes n'étaient plus vraiment
sales après le passage de ma langue mais peut-être encore humide par mes lèchouilles intensives. Voilà encore des culottes fraîchement dérobées et savourées à leur insu. Quel
régal la chatte des filles et en plus gratis.
C'est pas tout....
La Céline ! Je lui ai enfin bouffé la chatte et le cul, chez elle, pendant les vacances scolaires, ses parents et les miens
travaillant la journée, elle s'en souvient encore, je pense !
La suite très prochainement...
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