Voila la suite de mon après-midi chez elle, le premier jour.
J'étais donc allongé sur le dos, sur son son lit si douillet, la tête sur un coussin et j'admirais son
travail, sa langue longeant ma hampe de bas en haut puis tournant autour de mon gland et recommençant ainsi, plusieurs fois, avant de l'engloutir à fond de gorge et de me sucer comme si
c'était le traillon d'une vache. Elle me pompait le dar avec passion et énergie, elle était en manque de bite je pense et elle voulait rattraper son retard. Elle m'aspirait, me gobait par
moment une boule puis l'autre en me relevant et en me tenant la queue fermement, je sentais sa langue me les malaxer en bouche, une vrai pro!
Elle y allait...fallait voir !!! Des filets de bave lui coulaient sur le menton et elle me la crachait sur la verge
pour la lubrifier avant de l'engloutir à nouveau jusqu'à la glotte. Elle me pinçait du bout de ses lèvres la base du gland et je pouvais voir ses joues se creuser par ses fortes
succions qu'elle m'appliquait pour gorger de sang encore plus mon bout turgescent qui était prêt à exploser sous ses caresses buccales. Elle me léchait la bite avec bonheur, me
titillait avec sa langue gloutonne le bout du gland, la passant sur mon filet et se délectait du liquide translucide qui perlait à grosses gouttes, je mouillais à cet époque beaucoup du
gland sous l'excitation, un lubrifiant naturel pour la pénétration, toute les pénétrations. J'avais qu'une envie pendant qu'elle continuait à me gâter ainsi, lui bouffer à nouveau sa chatte
poilue rose aux lèvres marron et plus foncées en bordure.
Elle s'y prêta volontiers el la vue dans cette position du 69 était vraiment magnifique. Elle mouillait la
coquine, sa chatte était trempée et je lui carra direct ma langue dans sa cramouille pour la fouiller et la gouter encore, puis colla ma bouche dessus, aspira et avala avec délice tous
son jus visqueux tout chaud, par moment épais avec de petites glaires blanches. Je recommençais ensuite à la lécher, à lui sucer le clito à le prendre en bouche et à
l'aspirer, à tirer dessus à l'extrême avant qu'il s'échappe de ma bouche, elle gémissait et tortillait du cul comme si elle avait envie de pisser.
Sa source à mouille était intarissable, il en sortait encore et de plus en plus, puis elle s'arrêta de me pomper
la bite pour me dire de continuer, de ne pas m'arrêter, qu'elle allait jouir sur moi, elle se releva et par des mouvements rapides de va et vient du bassin, elle frottait sa
moule détrempée, lèvres ouvertes sur ma bouche avec ma langue déployée à fond et ne tarda pas à avoir les soubresauts annonciateur de l'orgasme pour au final se
masturber elle-même la moule, d'une main, avec des mouvements de rotation, pour accompagner sa jouissance, cette coulée chaude se répendant sur mon visage avec
des râles de plaisir et des petits tremblements.
Je pouvais continuer en même temps à la lécher frénétiquement, comme un fou, pour espérer en
avoir d'avantage. J'en avais plein le nez et la bouche de sa cyprine, de ce nectar si doux et je m'en léchais les babines en la pénétrant avec 2 doigts maintenant pour tout faire
sortir, je léchais, aspirais tout ce que je pouvais, j'adorais ça. J'étais toujours bien raide et elle repris ma queue en main pour me faire cracher à mon tour, elle n'a pas attendue bien
longtemps avant que je gicle abondamment dans sa bouche tout en continuant à me masturber bien à fond jusqu'à la dernière goutte.
Elle se retourna vers moi pour me montrer le foutre épais sur sa langue et avala la totalité sans problème après bien
l'avoir savouré. Aaaaah !!! Il est bon ton sperme !!! Humm! J'en veux encore me dit elle tout en continuant à me nettoyer la queue et à lécher les dernières gouttes qui suintaient encore de
mon gland en me regardant avec ses yeux humides et coquins. Puis elle s'approcha et m'embrassa tendrement pour me dire de revenir demain et les jours suivants, elle voulait encore jouir et
que je lui prenne tout ses trous.
Elle voulait baiser avec moi encore et encore, c'était pas pour me déplaire, lui bouffer la chatte et la fourrer tous
les jours quand nous étions seul la semaine, sauf le weekend pendant nos vacances, était inespéré.
L'heure passait et nos parents respectifs n'allaient pas tarder à rentrer du travail, il fallait que je me sauve.
Je lui ai dit : " à demain alors" en l'embrassant et elle m'as donnée sa culotte de la veille en me disant: "C'est pour que tu penses à moi et que mon odeur te quitte pas et vient
plus tôt, dès le matin ou si tu veux viens manger avec moi demain midi". J'accepta volontiers et avait hâte d'être avec elle à nouveau, ça allait être encore plus chaud ! Je rentrais à la
maison finalement avec deux culottes que je m'empressa de cacher dans ma chambre et avec l'impatience de me régaler avec avant de m'endormir.
Voilà...
Tu veux la suite ....
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