le Cunnilingus ou l'Art de la langue au chat 

Une Symphonie des sens en quatre mouvements. 

Poilu, duveteux, épilé ou rasé de près comme un abricot, à la saisons des amours le fruit intime de la femme doit se cueillir bien mûr...
En effet, avant de se livrer au rituel de la reproduction dans une chevauchée fantastique, le cavalier sexuel doit avant tout bien préparer sa "monture"...
Les préliminaires sont donc particulièrement importants, que se soit en durée comme en variété. Et la pratique reine en la matière est le cunnilingus, que plus communément les orfèvres en la matière batisent : minette, gâterie, bouffage de chatte, langue agile...

Lascive, désinhibée, offerte et ouverte à souhaits, se laissant emporter par les humides délices de l'abandon, votre camarade de jeux en sera d'autant plus offerte, docile, malléable, son corps tout entier n'étant plus qu'un appel au stupre, à la luxure et à la fornication. Au final, en torero de l'amour que vous ête, il ne vous restera plus qu'à lui donner l'estocade en lui plantant votre banderille avant qu'elle ne succombe à une petite mort !
Si vous n'êtes pas expert en la matière, techniquement, le cunnilingus se décompose en quatre mouvements (les femmes en fonction de leur libido pouvant en préférer un, plusieurs ou tous !) afin de leur faire chanter la mélodie du bonheur et que leurs "petites morts" tutoient l'éternité : le gamahuchage, le baiser du serpent, la glotinade et la communion bouche à vulve...

 
 1er mvt - Le Gamahuchage ! 
 
Cette opération similaire au cunnilingus consiste à passer ma langue sur la vulve de la femme sans ouvrir les grandes lèvres avec ses doigts. La pointe et la pulpe de votre langue passe et repasse avec délicatesse le long du sillon génital, comme un titillement rapide et vient "chatouiller" le clitoris de gauche à droite et de haut en bas. Première étape pour faire "miauler la petite chatte", et une caresse buccale essentiellement clitoridienne. Notez que l'homme, s'il est pris d'une "crampe" à la langue, à la possibilité d'utiliser ses lèvres à la place de la langue dont il se sert pour pincer délicatement le petit bouton de rose et le sucer ou lécher tel un bonbon de chair."Préparée" et humidifiée à la salive, la Femme éprouve ainsi une sensation de suavité extrême.

Cette "mise en bouche" préparatoire est particulièrement appréciée par les femmes à la sensibilité clitoridienne appuyée et certains spécialistes de la chose estiment même que la vulve de la femme contient un point "exquis". Le seul attouchement de la langue au moment du "cunni" peut déclencher un orgasme. Afin de trouver ce "booster" orgasmique, la caresse buccale doit donc se faire exploratoire.
Avec le plat de la langue, effectuez de larges lapements puis visitez le sillon et quand vous sentez le corps de votre partenaire se cambrer, ou ses cuisses se crisper ou se serrer sur votre visage, c'est que vous avez mis le doigt...Pardon, la langue dessus.
Ensuite, afin d'amener votre complice à l'extase sexuelle, pressez des lèvres le joyaux, faites-le rouler entre elles, aspirez-le discrètement, têtez-le comme s'il s'agissait d'un petit mamelon.

  
Cette technique convient tout particulièrement aux jeunes filles à la sensibilité clitoridienne développée, mais dans le cas d'une femme mariée dont le vagin est également devenu surexcitable, en plus du gamahuchage, enfoncez-y un ou deux doigts et agitez-les dedans tout en faisant "frétiller" la langue sur le divin clito de Madame.

Un toucher anal subsidiaire (le "petit-gris" sera humidifié à laide de l'ambroisie intime de votre partenaire) est également possible pour ceux qui ne répugnent pas à passer par l'entrée des artistes...
 
 

 2ème mvt - Le Baiser du Serpent :
 
Dans ce deuxième "mouvement" de la symphonie du bonheur féminin, la langue de l'homme, tirée, raidie est tendue pour l'intromettre dans le vagin où elle rentre et sort dans un mouvement continue, comme s'il s'agissait d'une verge exécutant un va-et-vient coïtal.

Dans ce cas, votre nez de coquin peut appuyer sur le clitoris afin de le frotter dans un même mouvement. Une femme vaginale "profitera" bien plus qu'une clitoridienne de cette langue fourrée qui dans un cas d'utilisation un peu trop prolongée peut entraîner une certaine 'crispation" des muscles du visage masculin...
 
 

 3ème mvt - La glottinade :
  
Il s'agit d'un cunnilingus où toutes les façons d'utiliser sa langue sont mises en oeuvre. A l'aide de ses pouces et dans un mouvement subtil, l'homme ouvre grand la vulve de la coquine et lèche successivement les lèvres extrêmes, ses nymphes, et la muqueuse du vestibule vaginal.
Grâce à la pointe de votre langue, "agacez" non seulement le clitoris mais aussi la pupille utèrale (un point sensible malheureusement oublié...). Ensuite, en alternance, ma langue fouille le vagin ou s'applique à plat pour en balayer l'entrée.
 
 

 4ème mvt - La communion bouche à vulve :
 
C'est la pratique ultime des purs amateurs de cunnilingus qui, au-delà du geste mécanique, leur permet d'absorber la cyprine féminine...Afin d'obtenir une grande sécrétion vaginale ("faitre mouiller" sa partenaire dirait-on vulgairement...) tous les mouvements de langue et de lèvres sont déployés. L'amant, lorsque sa compagne est bien "préparée", colle sa bouche au doux orifice regorgeant de sève et l'aspire pour la savourer. Fellations et cunnilingus sont une sorte d'opothérapie (traitement d'une maladie par des extraits de glandes endocrines d'animaux) amoureuse utilisant dans ce cas les sécrétions sexuelles humaines. Une "goulue", experte en fellation, boit le sperme de son amant parce qu'elle a besoin de phosphore. De même, la cyprine dont on se délecte en léchant une vulve à des composants  particulièrement aphrodisiaque et toniques sexuellement pour l'homme. D'ailleurs jadis ne les utilisait-on pas comme ingrédient pour les philtres d'amour ?
 
Il y a tant et mainte façon de faire que chacun doit chercher et trouver, suivant la partenaire, les techniques qui lui donnent le plus de plaisir.
Ca ne vient pas forcément du premier coup mais au fil du temps ont fini par connaitre bien mieux sa douce et par lui procurer bien des plaisirs. Cette pratique qui demande de la technique, un certain savoir faire, est l'acte que les femmes préfèrent en général dans les ébats amoureux et ne doit pas être baclé.

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