Mes Histoires Coquines "Aventure à la ferme 2ème Partie"
Voici l'année suivante à la ferme...
Heureux de revoir mon pote, surtout ses frangines et tout particulièrement la Gwenaelle, toujours aussi désirable avec son
regard de coquine qui me faisait craquer.
J'aimai à l'époque être à l'air libre, le travail à la ferme me convenait parfaitement.
J'aurai pu devenir cultivateur, fermier, la vie en a voulue autrement, c'est comme ça, maintenant je suis dans une activité tout
autre.
Je prenais l'habitude d'emmener, tous les matins après la traite, le troupeau de vaches au pâturage avec la Gwenn et le soir
également pour le retour à l'étable.
Elle me laissait pas indifférent, en plus je connaissais déjà son odeur intime et le bon goût de sa foufoune.
Si elle savait ? Je ne sais pas la réaction qu'elle aurait eu
si je lui avais dit que j'adorais ses petites culottes bien sales et terriblement enivrantes.
Bref, les jours passaient et je continuais à me servir en petites culottes, toujours, voir encore plus gorgées de nectar, de
mouille gluante, visqueuse et de glaires épaisses.
Un régal pour mon nez et ma langue, le soir dans mon petit lit, en me masturbant à la lampe électrique pour pas que l'on puisse voir la
lumière sous la porte.
J'aimais être avec elle et la taquiner aussi, j'aimais la voir bouger, sourire et rigoler. Sa compagnie me plaisait bien et deviner ses formes excitantes encore plus.
Elle connaissait tous les endroits ou les poules allaient pour pondre.
Elle me montrait toutes les caches, et particulièrement celles dans le tas de paille, dans la grange de stockage prévue à cet
effet.
Je ne savais pas qu'une poule pouvait voler si haut pour aller pondre à cet endroit.
Il fallait monter à l'échelle et là, c'était un régal pour mes yeux. Elle était en jupe et montait la première, avec son petit panier
en osier, exprès pour m'émoustiller et attendre ma réaction à la vue de son bien joli postérieur.
Je pouvais admirer ses fesses et sa petites culotte blanche dont le tissu s'immiscait entre ses fesses de façon charmante.
"Ne regarde pas" disait-elle!
Je lui répondais " c'est trop beaux la vue d'ici".
"Tu aimes" me dit-elle! "Monte si tu veux en voir plus".
La petite coquine !!! je savais bien que je lui plaisais.
Une fois monté et à peine j'ai eu le temps d'inspecter le lieu qu'elle m'a poussé dans la paille en rigolant, a soulevé sa jupe et
m'a dit: "Et là... Tu vois mieux".
Elle s'est ensuite assise sur moi, en me chevauchant et en me maintenant les bras pour pas que je puisse bouger ou me
relever.
Je sentais son souffle dû à l'effort qu'elle mettait pour m'immobilisé et m'a demandé, spontanément et s'en
s'empourprer si je voulais sentir sa chatte après ce que j'avais vu, tout en commençant à m'embrasser tendrement, pui goulûment.
Quelle question ? J'attendais que ça..!
Mais je lui ai dit: "tu es direct toi alors, tu n'as pas peur que l'on nous surprenne! "
"Non pas de danger! on cherche les œufs Non!" tout en avançant sur moi.
Elle s'est portée alors jusqu'à mon visage pour que je la renifle.
"Tu aimes l'odeur de ma chatte" me demanda t-elle, en appuyant ma tête contre sa culotte blanche.
Qui n'aurait pas aimé cette odeur de foufoune de petite fermière aguicheuse et prête à se faire bouffer la
chatte.
Je lui ai dit: "j'adore ça et je peux faire mieux".
"Ah Oui !" répondit-elle étonnée par mon enthousiasme.
J'ai alors écarté doucement sa petite culotte sur le coté et commencé à la lécher. Passant ma langue entre ses lèvres et cherchant son
petit bijou pour lui titiller du bout de ma langue, l'aspirer ensuite avec ma bouche gourmande et affamée.
"Et ça! tu aimes Gwenn" lui ai-je dis?
Elle me dit en gémissant "Oh ouiiii... C'est trop bon ta langue Humm!!! mais il faut que l'on arrête, on va nous
chercher."
"Si l'on ne revient pas avec les œufs, ma mère attend pour la cuisine et risque de rouspéter".
Pour la taquiner je lui rétorqua: "Ah! maintenant tu as peur, je croyais qu'il n'y avait rien à craindre".
Elle: "Non non... C'est pas ça mais il faut redescendre maintenant, ma mère attend ! Demain promis".
Elle m'a laissé avec une gaule d'enfer. Je l'aurai bouffée
avec cette excitation de dingue et cette saveur de ses lèvres humides sur mes lèvres.
Elle: "Demain on prendra plus de temps, tu me feras bien mouiller avec ta langue et tiens voilà ma culotte en cadeau"
"Si tu aimes je t'en donnerai d'autres en souvenir, ça sera notre petit secret".
Le jour suivant, pareil... Dans la paille au même endroit je l'ai lécher longuement jusqu'à ce qu'elle jouisse.
j'en avais plein la langue de sa mouille gluante et elle m'a roulée à la fin une pelle pour goûter sa propre mouille.
Un vrai délice se baiser, puis elle m'a pris la queue et a fini de me masturber la coquine.
Une vrai p'tite salope qui aime le sexe, cochonne finalement, elle m'a ensuite pris en bouche et m'a demander
d'éjaculer sur sa langue.
J'ai essayé de pas lui en mettre partout en me contrôlant, mais je lui ai mis une bonne cuillerée à soupe de foutre épais sur sa longue
et jolie langue toute rose, mais aussi sur son nez et son menton.
Elle a tout avalé d'un coup en faisant: "Aaaah !!! " il est bon, j'en veux encore"
J'en revenais pas, ses yeux étaient tout humide et brillant.
Elle aime le sperme la Gwenn et j'étais prêt à lui en donner encore...
"Demain on recommencera" me dit-elle en plus.
"J'ai adoré ta langue dans ma chatte et tu peux lécher ma culotte si tu veux ce soir dans ta chambre."
Le Pieds!!! c'était inespéré une telle situation.
Elle allait me rendre dingue, je ne pensais plus qu'à çà.
Même à table, elle se mettait toujours en face de moi et en profitait pour me glisser son pieds entre les jambes
pour continuer à m'émoustiller.
Je ne savais plus comment faire et j'avais peur que ça se remarque.
Je lui ai brouté le minou plusieurs fois dans différents endroits.
Dans l'herbe haute, dans un champ de blé, dans la salle de bain du haut mais risqué, et elle était toute excitée à
l'idée d'être surprise avec moi à genoux, entre ses cuisses lui léchant le baveux.
Elle est venue plusieurs fois la nuit, quand tout le monde était endormi, dans ma chambre pour m'apporter sa culotte avec laquelle
elle venait de s'essuyer après s'être masturbée.
Ca n'arrêtait pas, une vrai gourgandine et elle voulait que je lui fasse la toilette avec ma langue dans mon petit lit de 90 cm.
Impossible de lui résister, je lui ai bouffé le trou du cul et la chatte à nouveau avec pour seul éclairage ma petite lampe de
poche.
J'ai joui dans sa bouche un fois de plus.
Elle adorait me sucer pendant que je m'occupai de sa cramouille, cette vulve vue de derrière était très excitante, je l'aurai lécher
pendant des heures si j'avais pu.
Sa chatte n'était pas rasée comme le font les filles aujourd'hui, le ticket de métro, sa touffe à elle, bien noir et ses poils gluants
de mouille m'excitaient terriblement.
Je lui ai avoué que j'avais l'an dernier sucé pratiquement toutes ses p'tites culottes et un peu, voir beaucoup celles de sa
sœur.
Je ne l'ai jamais pénétrée, trop peur de la mettre enceinte et pas de préservatif en plus.
J'aurai pu la sodomiser, je suis sûr qu'elle aurait aimé ça.
Lorsque que les vacances se sont terminées, elle m'a mis dans mon sac plusieurs culottes d'elle et chipé aussi 2 culottes de sa
sœur, particulièrement dégoûtantes, très crémeuses avec une forte et agréable odeur.
Voilà en espérant que tu aurais aimé être cette Gwenn là.
Pas facile de se souvenir de tout il y a déjà plusieurs années.
J'aurai du l'épouser la Gwenn, elle m'aurait totalement comblé.
Tant pis pour moi... encore une occasion "ratée".
Je l'ai revue que 5 ans après, elle ne m'a pas attendue et elle avait déjà 2 mouflets.
Trop bonne cette fille ! Elle n'a pas tardé à se dégoter un autre matou.
Elle lui a jamais dit pour nous deux avant. C'était et c'est toujours notre petit secret.
Elle m'a envoyée plusieurs fois par la poste une de ses petites culottes, preuve qu'elle ne m'avait pas oublié.
Elle est heureuse avec son mec c'est le principal il s'occupe bien d'elle et est attentionné. Elle le mérite bien.
Bisous de coquins tout partout à toutes
PS: Pardonnez-moi encore pour les fautes d'orthographe!
Love Pussy
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